Ce festival national est organisé au cinéma Lux en partenariat avec l’association Tati en fête. Les ambassadeurs ont participé à la sélection et ont proposé le court-métrage La Linéa.

Je n’ai pas aimé le film vingt dieux car je trouve qu’il ne nous met pas vraiment dans la peau des personnages et on ne s’attache donc pas à eux.
De plus je pensais me retrouver dans l’histoire car c’est un jeune garçon de 18 ans mais au final pas du tout je trouve même que nous avons un style de vie totalement différent.
M.B.

Ce film met en suspens deux heures de notre vie pour nous montrer combien elle est chère et précieuse. Aborder sa propre mort relève d'une force et d'un courage surhumain. Il est d'autant plus intéressant quand on sait que malgré ces soi-disant traitements qui coûtent une fortune, le but est totalement marketing. Almodovar amène toujours son extravagance ne serait-ce qu'avec une maison sortant d'un Hopper.
L.M.

Une belle histoire avec de beaux dessins !
Très peu de dialogues qui vous plongent encore plus dans ce film. C'est original, brutal, et je n'ai rien vu venir… Tout est dans l'écriture, qui crée un petit morceau de beauté très agréable à regarder, et qui ne m'a pas laissé indifférent.
F.B.

Un film d'animation qui transcende la fiction pour raconter la réalité de la guerre . Cependant cela est du point de vue de natifs vivant aux abords de camps d'extermination. Tout est montré mais rien n'est dit, nos yeux sont les seuls témoins de ces atrocités. De plus le son joue un rôle majeur en passant du chant yiddish au tambourinement des trains. Ce film est à voir et revoir pour nous rappeler combien nos choix politiques peuvent impacter et amener des millions d'humains à la mort.
L.M.

Le film illustre la cruauté humaine mais fait avant tout passer un message d’espoir bouleversant. Les images sont vraiment belles et marquent les
esprits.
L.P.

Une belle promesse, mais au final, déçu... Malgré les récompenses et les avis élogieux, Mémoire d’un escargot m’a laissé un goût mitigé. L’animation et la sensibilité du récit sont indéniables, mais il m’a laissé une sensation étrange... moins poignant et moins abouti que Mary et Max, du même réalisateur. Les sujets abordés sont identiques aux deux films : le harcèlement, la solitude, l'obésité, la mort, la religion, l'alcoolisme, les conflits parentaux… et bien d’autres encore, ce qui rend difficile de les dissocier. Mémoire d’un escargot a une mise en scène plus appuyée, plus explicite, au point d’édulcorer l’émotion. Et cette happy end… Cela reste un beau film, mais il n’atteint pas, à mon sens, le même niveau d’intensité et de finesse. Une expérience agréable, mais pas inoubliable.
F.B.

J’ai beaucoup aimé ce film en raison des personnages qui sont touchants et attachants. J’ai aussi apprécié la narration qui change de ce que l’on a
l’habitude de voir. Malgré cela la fin, bien qu’elle soit heureuse, m’a un peu déçue.
L.P.

Un film qui ose montrer la réalité des conflits Israëlo-Libanais (durant l'opération paix en Galilée). Au travers des yeux d'un occidental cette guerre paraît minime mais pourtant quand ses sentiments rentrent en jeu une nouvelle vision de la guerre est née. De mon point de vue l'histoire d'amour n'était pas vraiment nécessaire, elle rend longues certaines scènes. Cependant ce film reste un bon moyen de s'informer sur ces conflits si peu représentés en France.
L.M.

Le film est touchant et bouleversant, il reflète la triste réalité de la guerre. C’est un beau message d’espoir de la part d’un homme qui a tout fait et
tout donné pour tenir sa promesse.
L.P.